Remerciements
Mes remerciements vont d’abord à Calliope, qui m’a incité avec persévérance à “faire mon site” ; et qui, lorsque je m’y suis mis, m’a encouragé et aidé.
Ils vont aussi à M. et Mme Risnita, dont la société a accueilli le projet. Le docteur Risnita a mobilisé toutes ses capacités de programmation, d’inventivité, de créativité, de concentration, de compréhension et de patience pour aboutir au résultat que je souhaitais : un site à la fois riche en informations, sobre, pour ne pas dire austère, clair et rigoureux. Un site qui à la fois me permet de présenter l’essentiel de mes travaux antérieurs et m’offre un lieu où m’exprimer en toute indépendance : une bouteille lancée sur l’Océan Internet.
Mes remerciements vont aussi à ceux qui ont permis mes publications (dont on trouve quelques extraits sur ce site) :
- les éditeurs d’abord : ceux qui ont publié un ou deux de mes ouvrages (les Editions de la Porte et la Librairie de Médicis, Cujas, Jérôme Martineau, Syros, L’Harmattan...) et surtout les deux qui ont publié l’essentiel de mon œuvre : le Seuil, et tout particulièrement Edmond Blanc, et la Découverte, donc François Gèze ;
- et puis les organes de presse qui m’ont accueilli dans leurs colonnes : le Monde diplomatique, où Claude Julien m’a très tôt fait confiance, le Monde, où, notamment, François Simon puis Michel Boyer m’ont permis de tenir en toute liberté, d’octobre 1986 à juin 1992, la chronique mensuelle des pages économiques “À travers les revues” ; et encore, Economie et humanisme, Alternatives économiques, l’éphémère Monde des Débats, Libération, La Croix, Ouest-France...
Que soient aussi remerciés les auteurs des photos sur lesquelles je figure présentées sur ce site : Louis Monier de Gamma, Zouzi Chebbi de l’université Paris VIII, les auteurs des photos prises lors d’un débat à Vincennes, d’une conférence à Louvain la Neuve et de l’interview faite par Sarah Dirren de Radio Suisse Romande. Toutes les autres photos ont été prises par moi, sauf bien sûr celle prise à Hiroshima de “l’ombre qui a perdu son homme”.
Mes remerciements vont enfin à l’opiniâtre Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au cégep de Chicoutimi, créateur, animateur et PDG bénévole de la bibliothèque numérique “Les Classiques des sciences sociales”, dans laquelle il a déjà, en accord avec La Découverte et moi, intégré quelques-uns de mes ouvrages.
M. B.


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